Vous me faites mal au coeur les zamis.
Avons nous encore quleque chose à nous dire ?
ou les "banalités sont suffisantes " (Dryss) ?
Mesokee
L'Hirondelle de la Liberté
Samedi 11 novembre 2006 à 14:49
Ca y est .Comme promis je T'ai ecris.Je ne pense pas que tu t'attendes à ça.Tant pis ,il fallait que Tu le sache.
Peut-être ai-je fait une erreur ?
Samedi 11 novembre 2006 à 14:29
Il fait encore nuit quand je descends les marches et laisse l'affreuse musique derriere moi.L'envie de vomir ne se fait pas tader.Pourtant j'espere constamment qu'elle ne sera pas là aujourd'hui ,comme elle l'était hier et ce depuis plus d'un mois mainteant. Alors pour tenter de la faire passer je marche dans le froid matinal sous un ciel où je cherche les etoiles qui se cachent derriere les hauts immeubles.Je parcours des petites rues vides au sol mal goudronnés et slalomme en tre les barricades des divers tavaux entrepris.Toujours j'éssaye de changer mon chemin même si je sais que toujours je sortirais par la même rue et traverserai le même petit square vide lui aussi. Tout ça pour aller attendre quelque minutes la seule personne qui me reconforte par sa presence au petit matin avant que nous allions nous enfermer dentre ces hauts murs rouges. Alors pour quelques instants seulement je suis bien sur cette petite place de marché eloignée du bruit permanent du boulevard où l'on discute ,ris et pleure parfois avant de rejoindre cette prison où le savoir est censé regner.Là inevitablement, en croisant cette foule compacte et impersonnelle je me sens de nouveau mal.Je feins la bonne humeur et 'ça va ' accompagné d'un large sourire tandis que l'autre est deja repartis vers une nouvelle connaissance. Puis le jour se lève,la sonnerie sonne,tout s'enchaine dasn un souffle continue.Et le lendemain tout recommence.